– Après la mise sur le marché des vaccins COVID-19, on a commencé à entendre parler de personnes non vaccinées tombant malades après avoir été en contact avec des personnes récemment vaccinées. Cela en a déconcerté plus d’un, car la technologie de l’ARNm ne devrait pas, en théorie, être en mesure de « se répandre ».
– Après avoir vu d’innombrables cas de patients qui ne pouvaient s’expliquer que par l’excrétion du vaccin COVID, j’ai lancé, il y a un an, plusieurs appels largement diffusés pour que les personnes partagent leurs expériences d’excrétion présumée.
– De ces 1 500 rapports, des schémas clairs et reproductibles sont apparus qui prouvent collectivement que le « shedding » est un phénomène réel et prévisible qui peut s’expliquer par des mécanismes connus propres à la technologie de l’ARNm.
– De même, après avoir été bloquée pendant plus d’un an, une étude scientifique corroborant le phénomène de l’excrétion a finalement été publiée.
Indiscipline Intellectuelle Revue de Presse - Page 4
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Le « shedding » des vaccins Covid ARNm et ses effets cliniques
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Décroissance démographique mondiale dès 2084. Certaines communautés sont gagnantes
Notre monde semble tendre vers une décroissance démographique, Ce qui est appelée communément dépopulation devrait commencer en 2084. Ce qui est intéressant, c’est que tous les mécanismes de base sont bien présents pour que la chose ait un maximum de chances de se produire. Tendance à la baisse de la natalité et à la croissance de la mortalité.
Nous présentons ici des données prises sur le site de Our World in Data. Celui-ci est proche de l’Université de Oxford, ainsi que de la Fondation Bill et Melinda Gates et d’autres acteurs de Planète finance. Le label conspirationniste ne peut lui être appliqué. -
« L’écologie du spectacle est aveugle à la critique du capitalisme » - Clément Sénéchal
Essentiellement réformiste et concentrée sur les petits pas, l’écologie du spectacle porte témoignage au lieu de porter secours. Clément Sénéchal, auteur de Pourquoi l’écologie perd toujours (Seuil, 2024), déplore que cette écologie du spectacle ait rendu la problématique environnementale soluble dans l’extension du système capitaliste et le fonctionnement social des classes dominantes. Il invite à réinventer des formes d’actions directes et à utiliser le levier de l’État pour défaire le pouvoir du capital.
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Toujours moins d'enfants en France
La dénatalité plonge la France dans l'hiver démographique. Un nouveau rapport de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE,14/01/2025) confirme que « la chute vertigineuse » des naissances déjà constatée pour l'année 2023 (cf. LSDJ n°2334) se poursuit : « En 2024, 663 000 bébés sont nés en France. C'est 2,2 % de moins qu'en 2023 et 21,5 % de moins qu'en 2010, année du dernier pic des naissances. L'indicateur conjoncturel de fécondité s'établit à 1,62 enfant par femme, après 1,66 en 2023. Depuis la fin de la Première Guerre mondiale, cet indicateur n'a jamais été aussi bas », résume l'INSEE.
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L’élevage bovin français en quête d’avenir
L’avenir de l’élevage bovin n’est pas dans le négatif, dans le discrédit permanent, comme on l’entend trop aujourd’hui, mais dans des perspectives nouvelles combinant à la fois les pratiques, l’économique, le social et l’environnemental. Nul doute que la France restera attachée à son histoire et à ses pratiques culinaires, à la variété de ses races de bovidés, dont les produits acheminés sur les marchés ont historiquement contribué à sa réputation dans le monde.
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La Société des individus - Norbert Elias
La difficulté à saisir la société autrement que comme une somme d’individus ou une entité surplombante tient au fait qu’elle n’est pas un objet physique et délimité. Elle est « un flot continu, une perpétuelle mutation plus ou moins lente ou plus ou moins accélérée, des structures et des formes de vie ; le regard a du mal à y trouver des repères fixes ». Pourtant même dans la foule, malgré la liberté de mouvement des individus qui la composent, il y a un « ordre caché, qui n’est pas directement sensible », mais qui n’est pas non plus détaché des individus. En effet, chaque individu pris isolément occupe une certaine place : il assume une certaine fonction par rapport aux autres. « Chacun des êtres qui se croisent ainsi dans la rue, apparemment étrangers et sans relations les uns avec les autres, est, ainsi lié par une foule de chaînes invisibles à d’autres êtres, que ce soient par des liens de travail ou de propriété, des liens instinctifs ou affectifs ».
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Survivalisme : quand les autorités s'inspirent de ceux qui anticipent le chaos
Le survivalisme, longtemps considéré comme une mouvance marginale, serait-il devenu « mainstream » ? C'est ce qu'on pourrait penser en voyant non seulement la prolifération de « Salons du survivalisme », mais surtout les guides de préparation aux situations de crise publiées par la Croix-Rouge ainsi que par plusieurs gouvernements européens. Il n'est pas difficile de savoir ce qui les a motivés : l'expérience de la pandémie du Covid-19 et la peur de nouveaux pathogènes, la menace d'une grande guerre en Europe, divers phénomènes naturels liés au dérèglement climatique, la vulnérabilité de notre technologie face aux attaques terroristes ou une grande tempête solaire... Ce qui surprend le plus en réalité, c'est de voir les autorités publiques récupérer, dans leur discours sur la résilience, des idées survivalistes autrefois moquées.