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Revue de Presse de l'Indiscipline Intellectuelle - Page 2

  • L’intenable flambée du coût de la vie en France : une situation au bord de l’implosion

    Les charges mensuelles : un fardeau écrasant. Pour évaluer l’impact du coût de la vie, calculons les dépenses mensuelles moyennes d’un salarié célibataire vivant seul, en métropole et en périphérie, en incluant les postes incontournables : loyer, électricité, eau, impôts, nourriture, téléphone/internet, transport (voiture + assurance), et autres frais essentiels.

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  • Amazonie péruvienne : flèches contre tracteurs, la bataille silencieuse

    A Masisea, une localité qu’on atteint après plusieurs heures de navigation sur le fleuve Ucayali, ou par des routes ravinées par la pluie, les mennonites ne font pas seulement face à la colère des indigènes. Ils risquent aussi la prison, accusés de détruire la forêt dans le cadre de leur expansion agricole.

    L’une des communautés indigènes les plus opposées à ce groupe ultra-religieux protestant est celle de Caimito, située sur les rives de la lagune Imiria. Environ 780 shipibo-konibo y résident dans des conditions relativement précaires, vivant de la pêche et d’une agriculture à petite échelle. Le soir venu, certains se rassemblent dans la seule épicerie équipée d’un accès à internet grâce à des panneaux solaires.

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  • Une forêt tropicale détruite pour alimenter les chaudières françaises

    À Bornéo, une communauté autochtone a reçu l’ordre de quitter ses terres sacrées pour laisser une multinationale raser la forêt tropicale. Objectif : fabriquer des granulés de bois, dont la France est la première importatrice.

    Imbang, l’un des chefs du village, l’a craché au nez des policiers : il ne bougera pas, quitte à mourir sur place. Au cœur de la forêt tropicale du Sarawak, dans la partie malaisienne de l’île de Bornéo, une communauté autochtone résiste à l’appétit dévorant d’une multinationale. Menacés d’expulsion, les habitants font face aux bulldozers, bien décidés à raser ces terres sacrées pour fabriquer, entre autres, des granulés de bois… à destination de la France.

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  • Alexandre Jardin : « L’écologie sert d’outil de contrôle social »

    (...) à l’origine, l’écologie était un humanisme. Elle portait une vision de la protection du vivant, du lien entre l’homme et la nature. Elle n’avait rien d’un instrument de coercition sociale. Ce que j’appelle une « écologie non-violente », c’est une écologie concrète, active, fondée sur la participation des citoyens, non sur leur mise au pas. À l’inverse, l’écologie politique actuelle s’est transformée en un immense projet de contrôle des activités humaines. On est passé de l’engagement environnemental à l’ingénierie sociale.

    Ce basculement s’est produit au moment où les élites ont compris que l’écologie pouvait devenir un levier puissant : d’une part, un outil de pouvoir, de surveillance et de contrôle social ; d’autre part, un moyen de relégitimation des bureaucraties. Ne répondant plus aux fractures sociales, les administrations se sont inventées une nouvelle mission : « sauver la planète ». Et ce fantasme technocratique est aujourd’hui devenu la colonne vertébrale du projet européen.

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  • Peak Loneliness

    We’re missing the deeper issue. The biggest problem we face isn’t political or economic—it’s loneliness. In traditional societies, people were held by family, community, marriage, and religion—structures that left little room for isolation. In the modern West, those bonds have frayed. The old protections are gone, and loneliness has reached epidemic levels.

    At its core, loneliness comes from disconnection—from ourselves and from the living energy of the world around us. That’s why we’re so addicted to noise, screens, shopping, distraction. We’re trying to fill a void we don’t understand.

    Robert A. Johnson said the worst hell isn’t fire—it’s ice. It’s the frozen, lifeless state of being cut off from meaning and from others. 

    “Hell is the frozen place of unrelatedness, disconnectedness. Hell ice is worse than hellfire.“

    Johnson describes three kinds of loneliness: for the past, for what has not yet come, and the deep loneliness of being near to something sacred. That last one—paradoxically—is the cure.

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  • Pour les héritiers des nazis, l’Ukraine est du bon côté de l’histoire

    […] L’histoire ne sera plus la mémoire vivante de l’humanité, elle sera ce que décideront ceux qui détiennent le pouvoir à Bruxelles, elle sera institutionnalisée en tant qu’«Histoire» officielle et obligatoire pour tous :

    En effet, en janvier 2024, le Parlement européen a adopté une résolution exigeant une nouvelle culture européenne partagée de la mémoire. Non seulement l’histoire sera ce que décident les bureaucrates européens, mais elle sera la même pour tous, l’histoire nationale de chaque nation sera oblitérée, passage obligé vers leur Europe supra-nationale. Les livres d’Histoire peuvent dorénavant être brûlés, cela ne serait pas la première fois.

    Les jeunes générations éduquées sur Wikipédia seront définitivement persuadées que c’est le débarquement sur cette petite plage perdue de Normandie qui a écrasé le nazisme.

    La prise de Berlin et du quartier général nazi le 2 mai 1945 par les troupes soviétiques, la libération des camps d’extermination, toujours par les Soviétiques seront totalement occultés et à terme, niés.

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