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  • Gen Z Is Returning to Religion. Why?

    In the past, the younger generation tended to rebel against the religious norms of their parents. Young people’s resistance to the rules and institutions of religion was assumed and expected. But that’s not the case anymore. According to a recent article from Axios, members of Gen Z—which includes people born between 1997 and 2012—are actually more likely to go to weekly religious services than millennials and young Gen Xers. According to some reports, church attendance has quadrupled among Gen Zers in recent years.
    America witnessed a steady decline in Christianity from the 1970s through the 1990s, with only about 46 percent of Americans born in the ’90s identifying as Christian. Yet that falling trend has abruptly halted, likely because of a surge in religiosity among young Americans, particularly young men. Some Catholic dioceses, for instance, have reported a 70 percent increase in converts this year compared with last year, and many of these new converts are people in their teens and 20s. The winds have changed.

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  • Les lumières des climatosceptiques

    A la demande du Département américain de l’Energie (DOE), une analyse de l’impact du CO2 sur le climat américain a été réalisée et publiée en juillet 2025. Elle est intéressante à bien des égards.

    La ligne générale de ce document est présentée par Le Figaro du 8 août 2025, sous la plume du  journaliste Tristan Vey  qui résume l’affaire de manière quelque peu lapidaire : « Il y a quelques jours, le DOE a commandé un rapport à cinq climatosceptiques pour justifier l’abandon de toutes normes et régulations destinées à limiter les émissions de CO2. »

    Rien n’est si simple

    Formule aussi succincte que définitive, mais un peu courte si l’on s’attarde sur la conclusion du rapport, aux termes soigneusement pesés, qui dit ceci :

    « Le rapport préconise une approche qui reconnaisse explicitement les incertitudes, plus nuancée et fondée sur des données probantes pour éclairer les politiques climatiques.

    « Les risques et les avantages d’un changement climatique, tant naturel qu’humain, doivent être mis en balance avec les coûts, l’efficacité et les impacts collatéraux de toute action climatique, compte tenu du besoin du pays d’une énergie fiable et abordable, avec une pollution locale minimale.

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  • 2 milliards de tonnes de neige en un jour sur le Groenland !

    The map illustrates how the surface of the Greenland Ice Sheet gains and loses mass on a daily basis. This difference between snowfall and runoff is known as the surface mass balance It is always positive over the course of a year as not all fallen snow runs off the ice sheet again.

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  • Quatre ans sous le régime des talibans en Afghanistan : « Les femmes n’ont plus le droit de parler ou de chanter, même chez elles »

    Quatre ans après jour pour jour la chute de Kaboul, les talibans ont effacé les femmes de l’espace public. Sous la charia (loi islamique) leurs droits ont été anéantis, leurs vies réduites à un enfermement sans horizon.

    Depuis le 15 août 2021, date de la prise de pouvoir des talibans et de l’imposition de la charia, les femmes ont vu leurs droits amputés : interdiction d’étudier au-delà du secondaire, de travailler dans certains métiers, de sortir seules ou de parler en public. Près de 90 décrets liberticides ont été adoptés. La dernière mesure en date : calfeutrer les fenêtres pour ne pas être vues.

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  • Guerre civile en France et au Royaume-Uni : le sombre présage d’un professeur du King’s College à Londres

    La guerre est déjà en Europe, elle ravage l’Ukraine depuis plus de trois ans. Mais c’est une autre forme de conflit que prophétise et conjure un éminent professeur du King’s College à Londres, l’une des universités les plus réputées au monde dans la discipline des «War Studies». Dans un article publié en août dans la revue Military Strategy Magazine , David Betz met en garde contre le risque de guerres civiles dans les pays européens, et particulièrement en France ou au Royaume-Uni. Solidement argumentée, son étude n’est pas un billet d’humeur ou une chronique apocalyptique, mais bien un article de recherche, scientifiquement approuvé «par les pairs».

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  • SCIENCE-FICTION ET UTOPIE Face aux désastres en cours, désactiver la fatalité

    Un livre n’aura jamais le même poids qu’un char d’assaut, le même impact qu’un missile Jericho, la même vélocité qu’une balle de sniper, ni même la vie infinie d’une donnée enregistrée par une caméra de surveillance. Un livre ne rendra jamais l’eau potable, ne replantera une forêt, ne nourrira une population, ni ne dépolluera les sols. Un livre ne protégera jamais contre un coup de matraque, ne mettra pas à bas les inégalités et injustices, ni ne renversera les tyrans comme un tsunami renverse les centrales nucléaires.

    Et pourtant. Marx voyait dans les idées et la théorie des forces matérielles capables de changer le monde1. À la question que soulevait le philosophe Etienne Tassin « Pourquoi agissons-nous ? »2 nous ajoutons « Pourquoi devons-nous imaginer ? » Non pas pour fuir ce monde qui chaque jour semble de plus en plus désespérant, mais au contraire pour commencer à agir dessus, en interrogeant nos rapports à la technique, à l’écologie et enfin à la politique.

    Et pour ce faire, un livre peut tout. Car il existe, comme la formule le philosophe Miguel Abensour « une impulsion obstinée vers la liberté et la justice, qui, en dépit de tous les échecs, de tous les désaveux, de toutes les défaites, renaît dans l’histoire, refait jour, qui, au plus noir de la catastrophe, se fait entendre, résiste,...

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  • La matriarche et le caïd : pacte éducatif dans l’islam communautaire

    Chaque année en France, on estime à environ 70 000 le nombre de mariages arrangés, parfois forcés. Ce chiffre, largement contesté et rarement documenté officiellement, est surtout le reflet d’un tabou majeur : celui d’une loi du silence, renforcée par la peur des représailles familiales, l’omerta communautaire, et le refus institutionnel de nommer les choses par peur d’accusations de racisme ou d’islamophobie.

    Or, très peu de femmes issues de familles musulmanes dénoncent publiquement les mariages arrangés qu’elles ont subis. Non pas parce qu’elles les acceptent, mais parce que le poids de la honte, du contrôle social, du bannissement symbolique — voire réel — est immense. Derrière cette invisibilisation, il ne faut pas chercher une autorité masculine évidente, un père brutal ou un frère autoritaire. Le pouvoir est ailleurs. Il est diffus. Et il est féminin.

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