« Nous voyons un avenir où chaque ingrédient est produit par le processus technologique le plus efficace. Dans le cas des protéines, il s’agit probablement de systèmes de production biologique, et dans le cas des graisses, nous sommes fermement convaincus que la solution la plus viable au cours des 5 à 10 prochaines années est la chimie synthétique. Nous sommes enthousiasmés par la perspective de l’intégration de nouveaux systèmes biologiques et chimiques pour créer un système alimentaire délicieux, rentable, évolutif, durable et nutritif de l’avenir. »
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Les avantages inattendus de l’humilité
« L’humilité intellectuelle consiste simplement à reconnaître que tout ce que l’on croit n’est peut-être pas certain ou vrai » , a déclaré à Epoch Times le Pr Leary, soulignant que si cette prise de conscience peut d’abord être douloureuse, elle ouvre la voie à un potentiel inégalé d’apprentissage, d’amélioration et de réussite.
Une série d’études publiées dans la revue Learning and Individual Differences a montré que, dans des conditions de laboratoire contrôlées, les personnes intellectuellement humbles sont plus susceptibles de relever des défis et de persévérer face à l’échec.
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Ce que l’expert de l’espionnage Denécé nous a déclaré avant sa mort suspecte
C’est le docteur en histoire, enseignant et géopolitologue, spécialiste du Moyen-Orient, des relations internationales et des questions de sécurité, Roland Lombardi, qui a annoncé la disparition d’Eric Denécé. «C’est avec une immense tristesse et une émotion profonde que j’écris ces lignes. Mon ami et collaborateur, Eric Denécé, nous a quittés ce 12 juin 2025. Sa disparition brutale, dans des circonstances encore troubles et controversées, nous bouleverse tous». L’historien parle clairement de mort suspecte.
Le directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (Cf2R) était connu pour avoir levé le voile sur ce qu’il qualifiait de «véritable totalitarisme médiatique» instauré en Occident et révélé par la guerre en Ukraine. Eric Denécé a énuméré pas moins de vingt techniques utilisées par les spécialistes de la manipulation – de la diabolisation et de la culpabilisation au matraquage médiatique, en passant par l’inversion des réalités et les mensonges délibérés – qui visent à conditionner l’opinion publique européenne.
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Qui contrôle le monde ? Le libre arbitre humain est-il assiégé par l'invisible ?
Nous vivons une époque étrange, saturée de promesses technologiques et de vérités en miettes ; où les conflits éclatent comme des tempêtes scénarisées dans un théâtre mondial de plus en plus délirant. Le progrès avance comme un géant ivre, et pourtant quelque chose en nous, plus profond que l'intellect, se questionne : sommes-nous encore aux commandes ? Qui gouverne vraiment notre réalité collective ?
Ce que nous nommons réalité est peut-être un tissage d'influences bien plus vastes et subtiles que ce que nos sens, trop vite rassurés, peuvent percevoir. Derrière le vacarme des gouvernements, des crises, des idéologies en ruine, se cache peut-être une autre guerre, silencieuse, invisible, menée contre la souveraineté de notre conscience. Une guerre qui ne se déclare pas, mais s'insinue. Une guerre contre l'âme humaine, contre sa capacité à choisir en pleine présence.
Des forces, qu'elles soient spirituelles, technologiques, psychiques ou ésotériques, semblent travailler dans l'ombre. Elles modèlent nos perceptions, infiltrent nos émotions, manipulent nos désirs. Elles utilisent nos blessures non guéries comme points d'entrée dans nos esprits, exploitent nos peurs pour nous détourner de notre puissance créatrice. Et si, derrière les choix que nous croyons faire, s'activait tout un jeu d'influences qui nous dépasse ?
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Fabienne Delfour : « Comprendre l’animalité, c’est repenser notre place dans le Vivant »
Il y a une méconnaissance du vivant, de ses besoins et de ses particularités. Il est urgent de comprendre l’animalité, les mondes animaux et il est nécessaire de penser l’humain dans l’écosystème. Il faut cesser de le penser à côté ou pire au-dessus de l’écosystème. Idem pour l’éthique animale, il est important de réfléchir à notre compréhension de l’animalité pour pouvoir établir des relations respectueuses avec les animaux non humains.
Il est de notre responsabilité, à nous chercheurs, de protéger, défendre et restaurer la biodiversité et d’apporter des connaissances sur qui sont les animaux non humains. L’amélioration de nos relations anthropozoologiques se fera avec l’aide de la société et bien sûr cela doit se faire avec l’appui des législateurs. Il est donc nécessaire de les sensibiliser et de les éduquer, de continuer à le faire.
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Le retour de la question allemande
Lorsqu'il était question de l'introduction de l'euro en Europe, le démographe et historien Emmanuel Todd était un partenaire d'interview très convoité par les médias allemands. Il avait critiqué le traité de Maastricht, la bureaucratisation et la centralisation croissantes de l'UE, la mise sous tutelle des peuples et la monnaie unique, exigée des Allemands comme prix de la réunification et imposée par le chancelier Helmut Kohl. Todd avait compris que les exportateurs allemands seraient les principaux bénéficiaires de la nouvelle monnaie et que les pays plus étatistes comme la France avaient beaucoup à perdre. Après qu’il eut plaidé pour un protectionnisme européen, l'amour de l’Allemagne pour Todd s'est effrité.
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Émeutes urbaines : les bons, les brutes et les truands
Samedi 31 mai 2025, victoire d’un club de football, le Paris Saint-Germain, dans une quelconque compétition ploutocratique. Onze millionnaires incultes, payés pour jouer à la baballe par un pays ennemi de la France, qui finance les déstabilisations et attentats islamistes qui ont tué des centaines de Français ces dernières années, ont gagné. Grand bien leur fasse. Dans la foulée : comme tout le monde s’y attendait – et s’ils avaient perdu, ç’aurait été la même chose –, des hordes violentes ont déferlé sur les Champs-Élysées pour tout saccager sur leur passage, détruire du mobilier urbain, vandaliser des bâtiments publics et privés, incendier des voitures, piller des boutiques et, le plus amusant aux yeux de ces adeptes de l’adrénaline pour tromper l’ennui, affronter policiers et pompiers à coups de mortiers d’artifices. Il paraît que ça s’appelle « faire la fête ». Cette manière de « faire la fête » ressemble à s’y méprendre à celle que les mêmes emploient pour « protester contre l’injustice » ou pour « manifester leur colère ».