Samedi 31 mai 2025, victoire d’un club de football, le Paris Saint-Germain, dans une quelconque compétition ploutocratique. Onze millionnaires incultes, payés pour jouer à la baballe par un pays ennemi de la France, qui finance les déstabilisations et attentats islamistes qui ont tué des centaines de Français ces dernières années, ont gagné. Grand bien leur fasse. Dans la foulée : comme tout le monde s’y attendait – et s’ils avaient perdu, ç’aurait été la même chose –, des hordes violentes ont déferlé sur les Champs-Élysées pour tout saccager sur leur passage, détruire du mobilier urbain, vandaliser des bâtiments publics et privés, incendier des voitures, piller des boutiques et, le plus amusant aux yeux de ces adeptes de l’adrénaline pour tromper l’ennui, affronter policiers et pompiers à coups de mortiers d’artifices. Il paraît que ça s’appelle « faire la fête ». Cette manière de « faire la fête » ressemble à s’y méprendre à celle que les mêmes emploient pour « protester contre l’injustice » ou pour « manifester leur colère ».
https://cincivox.fr/2025/06/09/emeutes-urbaines-les-bons-les-brutes-et-les-truands/