Il y a une méconnaissance du vivant, de ses besoins et de ses particularités. Il est urgent de comprendre l’animalité, les mondes animaux et il est nécessaire de penser l’humain dans l’écosystème. Il faut cesser de le penser à côté ou pire au-dessus de l’écosystème. Idem pour l’éthique animale, il est important de réfléchir à notre compréhension de l’animalité pour pouvoir établir des relations respectueuses avec les animaux non humains.
Il est de notre responsabilité, à nous chercheurs, de protéger, défendre et restaurer la biodiversité et d’apporter des connaissances sur qui sont les animaux non humains. L’amélioration de nos relations anthropozoologiques se fera avec l’aide de la société et bien sûr cela doit se faire avec l’appui des législateurs. Il est donc nécessaire de les sensibiliser et de les éduquer, de continuer à le faire.