En catastrophe, la politique de « l’enfant unique » est adoptée en 1980, au forceps le cas échéant. Elle perdurera jusqu’en 2016. Aujourd’hui, toutes les restrictions sont levées. Du slogan « un enfant, c’est bien » des années 80, le PCC est passé à « il faut répéter trois fois cette information importante : Deux enfants ! Deux enfants ! Deux enfants ! » en 2016, puis à trois en 2021, autant dire qu’il n’y a plus aucune limite…

Dit autrement, la Chine a subi deux coups de balancier d’une extrême violence, un pronataliste, puis un antinataliste. Les excès de Mao, puis de Deng Xiaoping, son successeur ont fortement altéré la pyramide des âges. Au naturel, une pyramide des âges est assise sur une base large s’étrécissant à son sommet, nonobstant évidemment les guerres, famines, épidémies, etc., laminant une classe d’âge particulière. Toutefois, ces calamités récurrentes atteignent rarement – jamais ? – le paroxysme de la politique de l’enfant unique.

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Atlantico : Le Premier ministre britannique a récemment été pointé du doigt par Elon Musk, qui lui a reproché de ne pas avoir géré correctement les scandales sexuels de Rotherham et de Rochdale alors qu'il était procureur. Que savons-nous exactement de ces scandales ? Que s'est-il passé, et pourquoi secouent-ils encore le paysage politique britannique ?Brendan O’Neill : Le scandale des gangs de viols est l'un des pires scandales britanniques de l'après-guerre. Pendant des décennies, dans des villes du Royaume-Uni, des bandes d'hommes d'origine pakistanaise pour la plupart ont préparé, abusé et violé des jeunes filles blanches pauvres et issues de la classe ouvrière. À Rotherham, Rochdale, Oldham, Telford, Oxford, Manchester, Bristol et ailleurs, ces gangs se sont attaqués aux filles les plus vulnérables.

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Dans les années 1950, la CIA lance un projet secret baptisé MK-Ultra. L'objectif ? Tester des drogues et des techniques sur des cobayes humains pour développer le contrôle de leur esprit et les pousser à commettre des actes extrêmes. Pendant 20 ans, les pires expériences vont se succéder et mener plusieurs victimes au suicide ou à la folie. Récit d'un programme terrifiant aujourd'hui au grand jour.

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Il y a quelques jours, le chef suprême des talibans a ordonné que tout nouveau bâtiment serait dépourvu de fenêtres par lesquelles il serait possible de voir « la cour, la cuisine, le puits des voisins et les autres endroits habituellement utilisés par les femmes ». Il a également ordonné que toutes les fenêtres de ce type sur des bâtiments existants soient obstruées.

Une explication de texte a été donnée sur X par les autorités : « Le fait de voir des femmes travaillant dans des cuisines, des cours ou collectant de l’eau dans des puits peut engendrer des actes obscènes ». Décidément, nos islamistes semblent avoir de gros problèmes avec le sexe…

Rappelons que le ministre en charge « de la Propagation de la vertu et de la Prévention du vice » (selon un intitulé orwellien qui ne relève malheureusement pas du canular) avait déclaré fin octobre que les femmes devaient s’abstenir de réciter le Coran à voix haute en présence d’autres femmes (The Telegraph, 28 octobre 2024).

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Le déficit d’information, provoqué par une gestion hyper-centralisée et personnalisée, a contribué au désastre. Combien de décès auraient pu être évités ? Combien de jeunes ont vu leur santé mentale durablement affectée ? Combien d’années de vie étudiante ont été gâchées ? Et que dire des montagnes de dettes accumulées ? Le bilan de la gestion de la crise Covid est une véritable catastrophe. Une commission d’enquête serait donc non seulement justifiée, mais nécessaire.

Il faut également éclaircir l’instrumentalisation du Conseil scientifique. Jean-François Delfraissy, qui présidait le Conseil scientifique et est aujourd’hui président du Comité consultatif national d’éthique, a lui-même admis que ses recommandations n’étaient jamais suivies et que la gestion de la crise sur le plan médical était une catastrophe. Pourquoi n’a-t-il alors rien dit ? Pourquoi n’a-t-il pas alerté ? La responsabilité de cet homme est clairement engagée. Son rôle était de prévenir, de dire « attention ». Pourtant, on ne l’a jamais entendu le faire. Une telle défaillance mérite d’être examinée et jugée.

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Les défis de 2025 : Refaire société et promouvoir l'entraide

Alors que nous avançons vers 2025, Louis Fouché appelle à une prise de conscience collective. Il insiste sur l'importance de ne pas attendre de « sauveur providentiel », mais de s'engager activement dans la construction d'une société plus juste et équitable. « Il est essentiel de se réapproprier les problématiques locales, de participer activement à la vie de la communauté », affirme-t-il.

(...) Louis Fouché nous invite à cultiver l'espérance, cette vision d'un meilleur avenir qui guide nos actions. Il évoque la nécessité de « s'accrocher à une étoile », de se fixer des objectifs ambitieux tout en restant ancrés dans la réalité. « Nous devons nous préparer à vivre dans un monde imprévisible, où notre capacité d'adaptation et notre solidarité seront nos meilleurs atouts », conclut-il.

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Tu ne peux empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leur nid dans tes cheveux.
Proverbe chinois

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