Une fois n'est pas coutume: je reproduis ci-après le copié-collé d'un "thread" que j'ai trouvé sur X.com (anciennement Twitter). J'y ai découvert ce concept que j'ignorais: les pouvoirs topologiques.
(Thierry Groussin)
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Une fois n'est pas coutume: je reproduis ci-après le copié-collé d'un "thread" que j'ai trouvé sur X.com (anciennement Twitter). J'y ai découvert ce concept que j'ignorais: les pouvoirs topologiques.
(Thierry Groussin)
It is good to get out of the Anglophone world of political hysteria for a while. Here on the periphery of the empire, life carries on largely unmolested. There is a certain pressure that is absent, you slowly realize. Daily existence doesn’t feel invested with high-stakes political drama, as it is in the US and in the Western parts of Europe. We’ve seen no walking billboards of Identity, no multinational corporations hoisting the rainbow standard over the metropolitan centers, no skulking knots of young men from former colonies who seem to be unoccupied, and perhaps too attentive to one’s walking by. There are many visitors here in the Balkans, but to judge from appearances and overheard snippets of language, they are almost entirely European tourists.
Il serait crucial qu’un maximum d’entre nous se réveillent intellectuellement et trouvent le courage de dire haut et fort à tout le moins deux choses.
Premièrement que nous ne voulons pas d’un monde gouverné par les lubies infantiles de quelques archi-milliardaires et par le marketing cynique des industries pharmaceutiques qui a conduit aux innombrables scandales sanitaires et à leurs millions de victimes que nous n’oublions pas (Thalidomide, Distilbène, Prozac, Vioxx, Dépakine, Mediator, OxyContin, etcétéra), même si ces industries essayent désormais de nous habituer à penser que toutes les thérapeutiques classiques (utilisant des médicaments génériques ne leur rapportant plus d’argent) sont bonnes à jeter à la poubelle pour faire place nette au nouveau grand business vaccinal.
Deuxièmement que nous ne voulons pas d’un monde dans lequel des politiciens sans scrupule, entourés d’une cour de « scientifiques », de « journalistes » et autres influenceurs, passent leur temps à terroriser les populations (depuis le Covid, le nombre de jeunes sous psychotropes a progressé de 18 %, constate par exemple l’Assurance Maladie dans son dernier rapport) pour mieux pouvoir ensuite leur faire accepter sous prétexte d’« urgence » le renoncement à des droits et libertés fondamentales conquis de haute lutte depuis la fin du 18ème siècle, comme ce fut le cas avec les « confinements » durant la crise du Covid.
Formidable idée qui va permettre de mesurer en taille réelle la puissance des lobbies pro-panneaux solaires et celle des lobbies pro-biodiversité qui vont devoir s’affronter dans une bataille qu’on pressent déjà féroce. Eh oui : d’un côté, l’Église de l’Écologie Énergétique impose qu’on saupoudre avec force l’ensemble du paysage français d’immenses moulins à vent et d’encombrants panneaux photovoltaïques, pendant que, de l’autre, l’Église de l’Écologie Environnementale réclame quant à elle que les territoires soient rapidement rendus à leur nature sauvage afin d’y garantir une biodiversité abondante, scientifiquement mesurée, indispensable à la survie de tout sauf l’Humain et surtout Gaïa-compatible.
Les documents « fuités » de l’État allemand éclairent d’un jour nouveau la pandémie du Covid-19. Après le papier stratégique du ministère de l’Intérieur et les rapports du conseil d’experts du gouvernement fédéral, les documents issus de l’Institut Robert Koch (les « RKI Files »), divulgués fin juillet, sont particulièrement édifiants. Les 4.000 mille pages de rapports et les milliers de pages d’e-mails et de lettres, dont l’authenticité vient d’être confirmée par l’État fédéral, mettent en doute une grande partie des informations officielles diffusées pendant la pandémie. Loin de « suivre la science », comme le prétendait le gouvernement allemand, les fichiers du RKI montrent au contraire une politique fabriquant des « preuves » avec l’aide récalcitrante des experts, pour justifier après coup les décisions prises. Les conséquences politiques et juridiques risquent d’être considérables.
Dans un rapport largement salué, Olivier de Schutter, rapporteur spécial de l’Onu sur l’extrême pauvreté et les Droits de l’Homme, remet en question la croissance comme levier de lutte contre la pauvreté. Il démontre au contraire que cette croyance augmente les inégalités et détruit l’environnement. D’autres voies sont possibles, au-delà de la croissance, défend-il.
Alors que les autorités réglementaires de pays autres que les États-Unis, dont Singapour, ont délivré des autorisations pour certains aliments à base d’insectes, aux États-Unis, le paysage réglementaire est plus obscur – il n’existe pas de procédure d’autorisation légale ni d’interdiction claire et nette des insectes pour la consommation humaine.
En conséquence, des aliments contenant des insectes sont parvenus jusqu’aux consommateurs américains, même si l’une des rares lois américaines traitant des insectes dans l’approvisionnement alimentaire les qualifie de “saletés” et d’une forme de “falsification”.
Les grillons et les sauterelles parviennent aux consommateurs américains sous diverses formes, des barres protéinées aux boissons protéinées. Ils figurent également sur les menus des restaurants et sont présentés comme des ingrédients pour l’alimentation des animaux de compagnie et des animaux.
En l’absence de barrières réglementaires aux États-Unis, des investisseurs tels que Bill Gates et des géants de l ‘agroalimentaire comme Tyson Foods ont également commencé à investir dans des start-ups spécialisées dans les “protéines alternatives”, en dépit des “fact-checks” des médias grand public qui affirment que Bill Gates n’est pas favorable à la consommation d’insectes.