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Revue de Presse de l'Indiscipline Intellectuelle - Page 52

  • Laurent Guyénot : La peur provoquée par les juifs et par leur « Dieu de la terreur »

    « Il est temps que les juifs soient craints ! » a récemment déclaré le rabbin Shmuley. Les juifs, qui n'ont pas réussi à vaincre l'antisémitisme en essayant d'être aimés, respectés ou admirés, doivent désormais se faire craindre. C'est le nouveau mot d'ordre.

    Le problème est que si les juifs veulent être craints, ils doivent aussi accepter d'être haïs. La « peur des juifs » peut être traduite littéralement par « judéophobie » (du grec phobos, craindre). Pour être craint, il faut avoir le pouvoir de nuire, et il faut le prouver. Donc, si les juifs veulent être craints afin de combattre l'antisémitisme, alors l'antisémitisme a un brillant avenir devant lui. 

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  • Le mouvement LGBTQ+ manque sa cible

    Le mouvement LGBT en se définissant ainsi dans la compilation de l'indication de ses composantes est de fait une identification par exclusion. Ce qui en est est dedans. Ce qui n'en est pas est dehors. Tant et si bien que le nom à évolué en LGBTQ+, ce qui est un aveu de prise de conscience de la limite du processus. Ils auraient bien mieux fait de se nommer dès le départ "Mouvement pour la bienveillance" dont l'universalisme autorise toutes les évolutions et prises de conscience ultérieure et cible l'essentiel, l'objectif final commun : le bien vivre ensemble sans discrimination aucune. Mais apparemment ce n'était pas là l'objectif. La culture qui les a fait naitre est celle d'un communautarisme néolibéral, celui que l'on retrouve aux USA, et dans le monde anglo-saxon. Mais regardons de plus près.

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  • L'évolution des sacrifices humains

    L'Homo sapiens, est-il aussi sage que son nom l'indique ? Pourquoi à certains moments de l'existence s'octroie-t-il le droit de sacrifier des êtres humains ? 
    Un ouvrage de Pierre Bonnechere et Renaud Gagné, soutenu par le Conseil de Recherches en Sciences humaines du Canada développe magistralement. 

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  • The problem with science

    Jay Bhattacharya is one of the few heroes to emerge from that society-wide misadventure we call “Covid”. A professor of health policy at Stanford, he was one of the authors of the Great Barrington Declaration. It urged adherence to longstanding pandemic plans that emphasized the isolation and protection of the most vulnerable, rather than locking down society at large. He also conducted, with colleagues, the first seroprevalence study of the virus that causes Covid, in nearby Santa Clara county. It revealed that infection was widespread. This was crucial information, as it indicated that, despite widespread infection (estimated by them at 53,000 people), the vast majority of people were not having a significant enough health crisis to show up as a “confirmed case” (of these there were 1,200). This gave us a measure of how dangerous the virus was.

    For these contributions, Jay was attacked by every organ of the Government/ Big Science complex that meters out status and funding to its own loyalists. Fauci and Francis Collins, in private emails, called for a smear campaign against him and a handful of other “fringe epidemiologists” at backwater, fringe universities such as Harvard and Oxford. His own institution of Stanford hung him out to dry. Yet he never backed down, and has been vindicated on every particular. 

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  • Bill Gates ou le mythe du « bon milliardaire »

    L'histoire officielle veut nous présenter un visionnaire sans scrupules qui a conduit Microsoft à un succès planétaire – avant de prendre son « chemin de Damas » après le procès intenté par le gouvernement américain à la fin des années 90 pour contrer son emprise tentaculaire sur l'industrie de l'informatique. Peu de temps après, la Gates Foundation a été créée en 2000 pour investir une partie de son immense fortune dans l'humanitaire. 

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  • La Passion du Christ, un sacrifice rituel ?

    À l’occasion de la fête de Pâques, dans ce numéro spécial d’Urbi et Orbi, Edouard Husson évoque la Semaine Sainte, mais précise la notion de sacrifice, dans la lignée de la pensée développée par René Girard. La force du christianisme est d’avoir proclamé que la victime du sacrifice collectif est innocente, et que le sacrifice du bouc-émissaire repose donc sur une imposture. La mort du Christ renvoie chacun à sa propre responsabilité dans ses fautes.

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  • « L'Occident nihiliste a perdu tout sens des réalités »

    Les dirigeants occidentaux vivent deux événements fracassants : la défaite en Ukraine et le génocide en Palestine. Le premier est humiliant, l'autre fait honte. Pourtant, ils ne ressentent ni humiliation ni honte. Leurs actes montrent de façon éclatante que ces sentiments leur sont étrangers et qu'ils sont incapables de franchir les limites bien ancrées du dogme, de l'arrogance et des insécurités endémiques. Ces dernières sont à la fois personnelles et politiques.

    C'est là que réside l'énigme. 

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