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Revue de Presse de l'Indiscipline Intellectuelle - Page 34

  • How Does the Economy Really Work?

    The world economy is an amazingly complex, physics-based, self-organizing system. The three major elements are extracted resources including energy resources, human population, and demand coming through the financial system.

    All three of these elements tend to increase over time, but both population and extracted resources tend to hit limits because the world is finite. Financial demand is emphasized by politicians because it seems to increase without limit. The extraction limit is not obvious: It is the amount that consumers can afford to pay for resources and the products they create. This limit cuts off resource extraction at amounts that are far below the amounts that geologists calculate are available for extraction.

    In this post, I will offer some insights into how the world economy actually operates.

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  • Viktor Orban sort le grand jeu : la présidence hongroise du Conseil de l'Union Européenne qui fait trembler Bruxelles

    Le 1er juillet, la Hongrie a pris la présidence tournante du Conseil de l'UE. Viktor Orban a créé un nouveau groupe au parlement européen, les « Patriotes pour l'Europe », il a entamé une série de voyages diplomatiques et se veut un médiateur dans le conflit ukrainien. Un activisme vivement critiqué à Bruxelles, où son approche est perçue comme souvent contraire au « consensus européen ».

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  • Quels sont les liens entre BlackRock et Emmanuel Macron ?

    Ils sont peu nombreux en France à s’être intéressés au poids politique du géant américain BlackRock, cette multinationale fondée en 1988, dirigée par un certain Larry Fink et devenue en quelques décennies le plus important gestionnaire d’actifs de la planète.
    Deux personnes au moins se sont sérieusement penchées sur le sujet : le journaliste Denis Robert, qui a publié en octobre 2020 un livre enquête intitulé Larry et moi aux éditions Massot, et l’observateur financier Guy de la Fortelle, qui a consacré plusieurs articles et vidéos à « ce monstre des profondeurs » qu’est BlackRock, dans sa lettre d’information L’Investisseur sans costume.
    ◆ BlackRock, détenteur de 5 % du CAC 40
    Selon eux, la puissance de Larry Fink est incommensurable. Cet homme « a plus d’influence sur nos vies que nos parents », alerte Denis Robert dans la présentation de son ouvrage, en soulignant quelques faits essentiels : « Savez-vous que BlackRock possède 6,3 % de Total, 6,5 % de Sanofi, 6,4 % de Publicis, 5,9 % de Danone… en gros 5 % du Cac 40 ? Que BlackRock conseille la BCE, Airbus, Exxon, JP Morgan, Apple, la Grèce, l’État allemand ou la Commission européenne ? »

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  • Posséder son logement devient un luxe : le risque d'un retour au féodalisme

    Le bon fonctionnement des démocraties libérales est étroitement lié à la possibilité de l'ascension sociale qui passe notamment par l'accès à la propriété. Or, on observe un renversement depuis les "30 glorieuses" : acquérir une résidence principale est devenu tellement onéreux que c'est souvent impossible pour les jeunes générations dans les métropoles occidentales. Les politiques d'urbanisme sont directement responsables de cette crise qui est aussi liée à la démographie et à la finance qui dans son fonctionnement actuel conduit à une toujours plus grande concentration des actifs.

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  • Algocratie : notre planète brûle et nous likons

    Comme le prophétisait le politologue Herbert Simon en 1971, « l’abondance d’information implique […] une pénurie de ce que l’information consomme, et ce que l’information consomme est évident : il s’agit de l’attention de ses destinataires. Par conséquent, une abondance d’information crée une rareté d’attention. » L’extractivisme – le fait d’accaparer une ressource inexploitée pour la transformer en marchandise – se déploie dans le virtuel avec la même avidité que dans le réel. Notre attention est une ressource finie, matière première sur laquelle se sont bâtis les empires publicitaires des entreprises les plus puissantes de la planète : Alphabet (90 % de revenus d’origine publicitaire), compagnie mère de Google et YouTube, et Meta (98 % de revenus d’origine publicitaire), compagnie mère de Facebook et Instagram. Les autres réseaux sociaux ont, eux aussi, des revenus presque exclusivement publicitaires. Tous se livrent une guerre féroce pour capter notre temps de cerveau disponible. C’est ce qu’on appelle l’économie de l’attention.

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  • Les Houtis sont-ils en train de l’emporter en mer Rouge ?

    Au cours des cinq derniers mois, la coalition a mené des frappes quasi quotidiennes contre les Houthis. Récemment, le 7 juin, les États-Unis et le Royaume-Uni ont mené six frappes aériennes, dont quatre visaient l’aéroport de Hodeidah et le port maritime de Salif, et deux la région d’al-Thawra, selon la chaîne de télévision Al Masirah TV, basée à Beyrouth et qui appartient aux Houthis.

    Ces frappes ont eu lieu huit jours après que les deux armées occidentales ont attaqué des cibles houthies à Hodeida et dans le sud du Yémen, faisant au moins 16 morts et 35 blessés dans ce qui semble être l’une des plus importantes attaques de Washington et de Londres contre Ansarallah depuis le début de la campagne conjointe américano-britannique à la mi-janvier.

    Il est difficile de déterminer dans quelle mesure les frappes ont endommagé la machine de guerre des Houthis et sa capacité à poursuivre ses attaques contre des cibles maritimes. Néanmoins, ces opérations, qui ont coûté aux États-Unis quelque 1 milliard de dollars selon un nouveau rapport des services de renseignement, n’ont finalement pas réussi à dissuader Ansarallah, qui continue de tirer des missiles et des drones sur des navires au large des côtes du Yémen.

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  • Le plan de l’ONU contre la liberté d’expression

    Le système de surveillance et de contrôle de l’information de l’ONU vise à centraliser la censure en vue d’une domination mondiale. L’ONU abusera de son pouvoir pour commander des récits et contourner l’obligation de rendre compte des actions totalitaires.

    Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations unies (ONU), vient de publier le dernier plan de jeu des mondialistes pour le contrôle de la population, la surveillance et la censure. Le plan de jeu, intitulé «Principes mondiaux pour l’intégrité de l’information», cherche à mettre fin à la «mésinformation nuisible, à la désinformation et aux discours de haine» en ligne, tout en «faisant respecter les droits de l’homme tels que la liberté d’expression».

    Guterres a présenté le plan de match avec un sentiment d’urgence, ordonnant aux gouvernements, aux entreprises technologiques, aux médias et aux annonceurs de prendre le contrôle et d’établir des récits officiels, tout en étouffant les voix de l’opposition. L’ONU soutient le contrôle algorithmique de Big Tech sur le flux d’informations en ligne et cherche à contrôler davantage le discours en ligne. Un groupe mondial d’élites cherche à supprimer ce qu’il estime être de la désinformation et cherche à discréditer et à démonétiser les voix dissidentes. Toute la censure émanant des systèmes de pouvoir mondiaux est une guerre contre la liberté d’expression, mais c’est aussi une guerre contre la vérité, de sorte que ces systèmes de pouvoir ne peuvent pas être tenus responsables de leurs abus.

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