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  • The Covid Doxa: how propaganda, censorship and the politicization of Covid have destroyed our intellectual and moral bearings

    In the West, during the Covid crisis, leading scientists and many physicians publicly voiced their disagreement with the WHO's account of the pandemic, as well as with the health policy management of the crisis by most governments. Under normal circumstances, such criticism would have prompted contradictory debate. But not only did such debates never take place, these scientists were censored and treated as pariahs. How can we understand this? This article proposes some answers, showing 1) that the official account of the crisis has a structure that forms a deceptive but coherent narrative, claiming the name of Science (the author calls this the Covid doxa) 2) that this narrative has been protected at the cost of censorship and ostracization on an unprecedented scale, 3) that this narrative has been imposed as “indisputable truth” by a veritable cartel set up to ensure control of legitimate information, a cartel mainly in the USA and made up of the pharmaceutical industries, the WHO under the influence of Bill Gates’ network, the governments of most countries, the digital giants and the legacy media.

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  • The Medieval Warm Period: A Global Phenomenon?

    The ‘hockey stick’ graph, first published by Michael Mann, Raymond Bradley, and Malcolm Hughes in 1999, depicted temperature anomalies over the past millennium. It showed relatively minor temperature fluctuations for most of the last millennium (the "shaft" of the hockey stick) and a sharp rise in temperatures in the 20th century (the "blade" of the hockey stick). This presentation suggested that the modern warming period has been unprecedented over the last millennium. This finding has been at the core of calls for robust measures aimed at addressing climate change.

    However, skeptics claim that the MWP was both global in extent and warmer than current temperatures in many regions. Evidence for this comes from several angles, suggesting that the established narrative underestimates the period's warmth and geographic reach. Here, I explore these skeptical viewpoints, considering the evidence and arguments they put forth.

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  • How Does the Economy Really Work?

    The world economy is an amazingly complex, physics-based, self-organizing system. The three major elements are extracted resources including energy resources, human population, and demand coming through the financial system.

    All three of these elements tend to increase over time, but both population and extracted resources tend to hit limits because the world is finite. Financial demand is emphasized by politicians because it seems to increase without limit. The extraction limit is not obvious: It is the amount that consumers can afford to pay for resources and the products they create. This limit cuts off resource extraction at amounts that are far below the amounts that geologists calculate are available for extraction.

    In this post, I will offer some insights into how the world economy actually operates.

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  • Viktor Orban sort le grand jeu : la présidence hongroise du Conseil de l'Union Européenne qui fait trembler Bruxelles

    Le 1er juillet, la Hongrie a pris la présidence tournante du Conseil de l'UE. Viktor Orban a créé un nouveau groupe au parlement européen, les « Patriotes pour l'Europe », il a entamé une série de voyages diplomatiques et se veut un médiateur dans le conflit ukrainien. Un activisme vivement critiqué à Bruxelles, où son approche est perçue comme souvent contraire au « consensus européen ».

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  • Quels sont les liens entre BlackRock et Emmanuel Macron ?

    Ils sont peu nombreux en France à s’être intéressés au poids politique du géant américain BlackRock, cette multinationale fondée en 1988, dirigée par un certain Larry Fink et devenue en quelques décennies le plus important gestionnaire d’actifs de la planète.
    Deux personnes au moins se sont sérieusement penchées sur le sujet : le journaliste Denis Robert, qui a publié en octobre 2020 un livre enquête intitulé Larry et moi aux éditions Massot, et l’observateur financier Guy de la Fortelle, qui a consacré plusieurs articles et vidéos à « ce monstre des profondeurs » qu’est BlackRock, dans sa lettre d’information L’Investisseur sans costume.
    ◆ BlackRock, détenteur de 5 % du CAC 40
    Selon eux, la puissance de Larry Fink est incommensurable. Cet homme « a plus d’influence sur nos vies que nos parents », alerte Denis Robert dans la présentation de son ouvrage, en soulignant quelques faits essentiels : « Savez-vous que BlackRock possède 6,3 % de Total, 6,5 % de Sanofi, 6,4 % de Publicis, 5,9 % de Danone… en gros 5 % du Cac 40 ? Que BlackRock conseille la BCE, Airbus, Exxon, JP Morgan, Apple, la Grèce, l’État allemand ou la Commission européenne ? »

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  • Posséder son logement devient un luxe : le risque d'un retour au féodalisme

    Le bon fonctionnement des démocraties libérales est étroitement lié à la possibilité de l'ascension sociale qui passe notamment par l'accès à la propriété. Or, on observe un renversement depuis les "30 glorieuses" : acquérir une résidence principale est devenu tellement onéreux que c'est souvent impossible pour les jeunes générations dans les métropoles occidentales. Les politiques d'urbanisme sont directement responsables de cette crise qui est aussi liée à la démographie et à la finance qui dans son fonctionnement actuel conduit à une toujours plus grande concentration des actifs.

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  • Algocratie : notre planète brûle et nous likons

    Comme le prophétisait le politologue Herbert Simon en 1971, « l’abondance d’information implique […] une pénurie de ce que l’information consomme, et ce que l’information consomme est évident : il s’agit de l’attention de ses destinataires. Par conséquent, une abondance d’information crée une rareté d’attention. » L’extractivisme – le fait d’accaparer une ressource inexploitée pour la transformer en marchandise – se déploie dans le virtuel avec la même avidité que dans le réel. Notre attention est une ressource finie, matière première sur laquelle se sont bâtis les empires publicitaires des entreprises les plus puissantes de la planète : Alphabet (90 % de revenus d’origine publicitaire), compagnie mère de Google et YouTube, et Meta (98 % de revenus d’origine publicitaire), compagnie mère de Facebook et Instagram. Les autres réseaux sociaux ont, eux aussi, des revenus presque exclusivement publicitaires. Tous se livrent une guerre féroce pour capter notre temps de cerveau disponible. C’est ce qu’on appelle l’économie de l’attention.

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