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  • Les Houtis sont-ils en train de l’emporter en mer Rouge ?

    Au cours des cinq derniers mois, la coalition a mené des frappes quasi quotidiennes contre les Houthis. Récemment, le 7 juin, les États-Unis et le Royaume-Uni ont mené six frappes aériennes, dont quatre visaient l’aéroport de Hodeidah et le port maritime de Salif, et deux la région d’al-Thawra, selon la chaîne de télévision Al Masirah TV, basée à Beyrouth et qui appartient aux Houthis.

    Ces frappes ont eu lieu huit jours après que les deux armées occidentales ont attaqué des cibles houthies à Hodeida et dans le sud du Yémen, faisant au moins 16 morts et 35 blessés dans ce qui semble être l’une des plus importantes attaques de Washington et de Londres contre Ansarallah depuis le début de la campagne conjointe américano-britannique à la mi-janvier.

    Il est difficile de déterminer dans quelle mesure les frappes ont endommagé la machine de guerre des Houthis et sa capacité à poursuivre ses attaques contre des cibles maritimes. Néanmoins, ces opérations, qui ont coûté aux États-Unis quelque 1 milliard de dollars selon un nouveau rapport des services de renseignement, n’ont finalement pas réussi à dissuader Ansarallah, qui continue de tirer des missiles et des drones sur des navires au large des côtes du Yémen.

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  • Le plan de l’ONU contre la liberté d’expression

    Le système de surveillance et de contrôle de l’information de l’ONU vise à centraliser la censure en vue d’une domination mondiale. L’ONU abusera de son pouvoir pour commander des récits et contourner l’obligation de rendre compte des actions totalitaires.

    Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations unies (ONU), vient de publier le dernier plan de jeu des mondialistes pour le contrôle de la population, la surveillance et la censure. Le plan de jeu, intitulé «Principes mondiaux pour l’intégrité de l’information», cherche à mettre fin à la «mésinformation nuisible, à la désinformation et aux discours de haine» en ligne, tout en «faisant respecter les droits de l’homme tels que la liberté d’expression».

    Guterres a présenté le plan de match avec un sentiment d’urgence, ordonnant aux gouvernements, aux entreprises technologiques, aux médias et aux annonceurs de prendre le contrôle et d’établir des récits officiels, tout en étouffant les voix de l’opposition. L’ONU soutient le contrôle algorithmique de Big Tech sur le flux d’informations en ligne et cherche à contrôler davantage le discours en ligne. Un groupe mondial d’élites cherche à supprimer ce qu’il estime être de la désinformation et cherche à discréditer et à démonétiser les voix dissidentes. Toute la censure émanant des systèmes de pouvoir mondiaux est une guerre contre la liberté d’expression, mais c’est aussi une guerre contre la vérité, de sorte que ces systèmes de pouvoir ne peuvent pas être tenus responsables de leurs abus.

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  • Un monde de plus en plus sucré. Du Coca-Cola à Sugarland

    Si de plus en plus d'acheteurs recherchent des boissons contenant de la caféine, l'omniprésence du sucre est la vraie question de notre époque. Car il a littéralement envahi notre quotidien : jamais l'humanité n'a consommé autant de sucre. Après des millénaires de sucre naturel, l' « or blanc » s'est banalisé. Nous mangeons de nos jours dix à quinze fois plus de sucre qu'il y a un siècle. Ainsi, sur ces dernières décennies, la consommation moyenne de sucre varie de 25 à 35 kilos par personne par an. Or, il est tellement addictif que d'aucuns en comparent les effets à ceux de la cocaïne. Pour Serge Ahmed, neurobiologiste à l'Institut des maladies neurodégénératives de Bordeaux, qui étudie son mode d'action dans le cerveau, le sucre est source d'addiction. 

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  • Joe Biden face à Donald Trump : le débat a tourné à la débâcle…

    Les grands débats présidentiels sont des jalons qui marquent la progression d'une campagne : ils ne sont décisifs que dans le cas de l'écroulement en public d'un des candidats…

    Or, c'est ce qui s'est passé en direct jeudi soir… Joe Biden est arrivé hagard, incapable de finir ses phrases dites d'une voix à peine audible. À plusieurs reprises, le Président Biden a perdu le fil de sa pensée et mélangeant les chiffres. Donald Trump n'a pas eu à briller tant son adversaire s'est enfoncé comme le rappellent les Australiens de Sky News (voir à 1'10'' quand Trump répond « Je n'ai pas compris la fin de sa phrase et je crains que lui non plus »). 

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