À Charlottesville, en Virginie, une statue de bronze à l’effigie du général Lee trônait sur une place depuis 1924. Le héros du camp confédéré pendant la guerre de Sécession méritait, en toute objectivité, qu’on lui rendît cet honneur. Officier remarquable, tacticien fulgurant, économe du sang de ses hommes, Robert E. Lee était opposé, au cours de ce sanglant et tragique conflit, à Ulysses S. Grant, un alcoolique à la carrière médiocre, chef discutable quoique fin politicien. C’est pourtant ce dernier qui deviendra président, au terme d’une guerre fratricide atroce dans laquelle le génie tactique et la cohésion nationale du camp sudiste devaient finalement s’incliner devant la puissance de régénération industrielle des usines du Nord.
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Bonne pour le cœur et le cerveau, cette boisson pétillante a des vertus surprenantes
Dans une seule coupe de champagne on peut trouver 4000 composés sous forme ionique : des sels minéraux, des vitamines (B1, B2, B5, B6, B9, B12, C et PP), des sucres complexes et surtout de nombreux oligo-éléments. Parmi eux du potassium, du calcium, du magnésium, du soufre, du cuivre (qui sont tous des sels minéraux assimilables) mais aussi du fer ionique ou du zinc.
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Les éco-émotions, enjeu de santé mentale majeur des années à venir ?
Les éco-émotions désignent les sentiments ressentis face à la crise écologique. Les auteurs
répertorient quatre grands types d’éco-émotions :
- L’éco-anxiété, qui est un type particulier de stress lié aux problématiques environnementales.
- L’éco-culpabilité, qui intervient lorsque les individus réalisent qu’ils ont violé des normes de comportement qui existent dans la société ou qu’ils se sont eux-mêmes fixées.
- L’éco-deuil, qui est une réponse à une perte liée à la destruction physique de l’environnement ou à des dégradations futures anticipées.
- L’éco-adaptation, qui regroupent différentes stratégies adaptatives pour gérer les éco-émotions et qui renforcent le comportement pro- environnemental. -
Êtes-vous un homme inutile ?
« 80 % des hommes sont inutiles, et c'est une bonne nouvelle pour les femmes. » Ce constat est brutal mais il devient de plus en plus commun. C'est la vision de certaines féministes, dont Meike Stoverock, une autrice allemande peu connue en France. Il y a deux ans, elle a publié Le Choix féminin - Sur le début et la fin de la civilisation masculine, un ouvrage décapant qui n'a pas encore été traduit en français.
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La vague de répercussions de la “dernière guerre” au Moyen-Orient
Encore et encore, l’humanité tente d’atteindre l’Elysium sur Terre, mais elle se heurte à un mur. Les survivants construisent alors des huttes de gazon sur les ruines des anciens empires et repartent de zéro. Pourquoi la catastrophe de l’âge du bronze est-elle importante ? Évidemment, parce que l’histoire a tendance à rimer.
À cette époque, le Levant était riche en civilisations et en échanges commerciaux, composé d’une multitude de royaumes représentatifs du monde connu : Égyptiens, Babyloniens, Minoens, Mycéniens, Hittites, etc. Ils disposaient de vastes réseaux économiques, d’une agriculture, d’une industrie et de bibliothèques écrites. La proximité des royaumes a permis d’établir des relations commerciales si importantes que cette période est souvent désignée par les historiens modernes comme la première “économie globalisée” (cela vous rappelle quelque chose ?).
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L’enseignement de l’économie rechauffe-t-il la planète ?
En février 2022, le rapport « Sensibiliser et former aux enjeux de la transition écologique et du développement durable dans l’enseignement supérieur » de Jean Jouzel appelle à "former 100 % des étudiants de niveau Bac+2, quel que soit leur cursus, d’ici 5 ans" [1]. Il vise à répondre, entre autres, au questionnement des jeunes vis-à-vis de leur capacité à comprendre le changement climatique et à exercer un métier qui contribue réellement à l’adaptation à celui-ci ou à son atténuation.
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Demain, un monde sans enfants ?
Si l'on se fie à un sondage IFOP réalisé en 2022 pour le magazine Elle, 30 % des Françaises entre 18 et 49 ans se diraient concernées par cette « infécondité volontaire ». Il était sans doute important de trouver une nouvelle façon de dire « ne pas vouloir avoir d'enfants ». Dans ce sondage choc, on apprend que 13 % des sondées disent ne pas vouloir d'enfant. À la même question, en 2006, elles n'étaient que 2 %…