En ce temps-là, c’est-à-dire avant l’arrivée d’Allende au pouvoir, les entreprises étrangères, en particulier étasuniennes, tiraient du Chili d’énormes profits. Exploitant la majeure partie des gigantesques mines de cuivre, la Kennecott et l’Anaconda Copper Company (canadienne) y réalisaient respectivement 34,8 % et 20,2 % de leurs bénéfices annuels. Pour en revenir à elle, l’ITT Corporation, outre deux hôtels Sheraton, possédait 70 % de la Chitelco, la compagnie de téléphone chilienne, qui lui rapportait, en 1970, 153 millions de dollars par an. En ce temps-là, c’est-à-dire avant l’arrivée d’Allende au pouvoir, les entreprises étrangères, en particulier étasuniennes, tiraient du Chili d’énormes profits. Exploitant la majeure partie des gigantesques mines de cuivre, la Kennecott et l’Anaconda Copper Company (canadienne) y réalisaient respectivement 34,8 % et 20,2 % de leurs bénéfices annuels. Pour en revenir à elle, l’ITT Corporation, outre deux hôtels Sheraton, possédait 70 % de la Chitelco, la compagnie de téléphone chilienne, qui lui rapportait, en 1970, 153 millions de dollars par an.
Revue de Presse de l'Indiscipline Intellectuelle - Page 68
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Salvador Allende, « presente » !
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Voyage au bout de l'empire transgenre
Le journaliste Christopher Rufo a plongé dans les soubassements de l'idéologie transgenre pour le Manhattan Institute (voir la vidéo en lien). Une poignée d'intellectuels marxistes ont rêvé de dépasser l'effondrement du bloc communiste en bouleversant les fondements des sociétés libérales ; un milliardaire transsexuel a utilisé sa fortune pour obtenir des soutiens politiques et permettre la construction des premières cliniques... Des expérimentations médicales et chirurgicales sur des enfants et des adolescents sont aujourd'hui pratiquées.
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L'activité des Médias de grand chemin
Mais aujourd'hui, il me semble que deux phénomènes marginaux et culturels font symptôme : l'explosion à travers le monde du nombre de spectateurs à "Sound of Freedom", ce film qui dénonce le trafic d'enfants, et ce malgré les censures (comme en France) et les attaques du monde de la production de culture, les dénigrements par les médiats de grand chemin comme par le puissant monde d'Hollywood pour des questions d'intérêts et d'enjeux.
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La dérive des produits dérivés
Le musée de la maison de Rembrandt d'Amsterdam présentait jusque-là une collection d’estampes du maître et des techniques graphiques qu'il utilisait : classique, trop. Fraîchement rénové, le musée veut créer le buzz et se surpasse : en juin, il fut possible de s’y faire tatouer des œuvres de Rembrandt !
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« L’Envie » d’Helmut Schoeck, un ouvrage majeur
La thèse d’Helmut Schoeck s’articule autour de l’idée que, loin d’être purement conjoncturelle et susceptible d’être supprimée, en particulier dans des situations où règnent de vives inégalités, l’envie est un sentiment consubstantiel à l’être humain. Il est donc naïf de prétendre l’éradiquer, à l’image de ce que les théories marxistes visant un égalitarisme intégral prétendaient accomplir (on en trouvera d’ailleurs une illustration dans le roman Kallocaïne, présenté récemment).
Il s’agit d’un processus psychologique qui exige un cadre social, donc l’existence de deux ou plusieurs individus. Et qui explique beaucoup de choses dans la vie humaine, celle des sociétés, et dans l’histoire des civilisations.
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La guerre des classes actuelle oppose les 1% au reste du monde
Dans son célèbre ouvrage de 1776 sur l’économie, « La richesse des nations », Adam Smith s’interroge sur le comportement des « grands propriétaires » du féodalisme. Ils possédaient les biens les plus précieux, à savoir la terre, et les revenus qu’ils en tiraient leur permettaient de subvenir aux besoins d’une classe d’assistants et de serviteurs et, au-dessous d’eux, d’une classe de locataires de la terre.
Mais les propriétaires ont peu à peu perdu ce goût. Ils ont fini par vouloir consommer « tout le surplus des produits de leurs terres […] sans le partager ni avec les locataires ni avec les serviteurs. Tout pour nous et rien pour les autres, semble avoir été, à toutes les époques du monde, la vile maxime des maîtres de l’humanité. »
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How the heart controls where blood travels in the body
Although Russians in general have suffered from a significant lack of personal freedoms ever since the days of the Soviet Union, with science it has been quite the opposite and they have been able to perform and publish a wide variety of experiments we could never do here without facing significant political repercussions. I suspect this scientific freedom is due to a combination of:
- Russia having significantly less money, so overpriced monopolies (e.g., the medical industrial complex) simply aren’t viable in Russia, and thus there is no incentive to invest in suppressing competing scientific models. Rather, their culture is incentivized to find the most economical solutions to the problems it faces.
- Russia having a daring culture which is willing to be upfront about challenging entrenched dogmas and exploring unorthodox ideas scientists there found compelling.