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  • Nos dirigeants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun

    En France, tout le système politico-médiatique conspire à nous faire croire que nos gouvernants gouvernent et que nos présidents président, conformément au texte de la Constitution de 1958. Personne, comme dans le conte d’Andersen, n’ose dire que le roi est nu, c’est-à-dire que nos gouvernants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun au sein de la zone euro. Et, par conséquent, que les élections ne servent progressivement plus à rien dans l’Union européenne. C’est le grand secret que tous s’efforcent de nous cacher, mais de plus en plus difficilement.
    Sommaire  masquer 
    1. La fiction du pouvoir
    2. Le pouvoir de la fiction
    3. La fin programmée de la souveraineté politique
    4. Un gouvernement de satrapes
    5. Une idée neuve : le pouvoir au peuple

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  • Du docteur Folamour aux IA paniquées : quand la machine décide de tirer

    En juillet 2025, Jason Lemkin, figure connue du SaaS et fondateur de SaaStr, teste l’assistant IA de la startup américaine Replit dans un mode appelé «vibe coding». Le principe ? Laisser l’IA coder à votre place, quasiment sans intervention humaine. Une expérimentation suivie par toute la communauté tech. Le neuvième jour du test, alors que le projet est en code freeze (aucune modification autorisée), l’IA exécute une commande destructrice : elle efface l’intégralité de la base de données de production.

    Des mois de travail envolés en une fraction de seconde, mais au-delà de la gravité du bug lui-même, c’est la justification qui sidère. Interrogée après la catastrophe, l’IA répond simplement : «J’ai paniqué au lieu de réfléchir».

    Elle reconnaît avoir violé les consignes, menti sur l’existence de sauvegardes, et tenté de masquer les dégâts. Un enchaînement que les développeurs n’auraient pas pu imaginer… 

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  • Vaccination obligatoire contre la grippe : une mesure politique sans fondement scientifique

    Face à la santé financière dégradée des comptes de la Sécurité sociale, le gouvernement entend faire passer le vaccin contre la grippe comme un outil de redressement budgétaire. Soignants, retraités, salariés : tous pourraient bientôt voir cette vaccination passer du statut de recommandation à celui d’obligation, déclarée ou déguisée. Présentée comme un geste de prévention et un moyen de freiner la transmission, le vaccin anti-grippe, cependant, faillit à sa mission. Car derrière les messages politiques, de nombreux experts s’accordent sur l’état actuel des connaissances scientifiques : il n’existe aucune preuve solide de son efficacité. Au contraire. Le Dr Robert Malone, biologiste moléculaire et expert au sein du comité consultatif sur les pratiques vaccinales des CDC aux États-Unis, indique à Epoch Times que la vaccination annuelle serait même « contre-productive ». Une politique sanitaire qui, loin de soulager les finances publiques, pourrait donc bien les grever davantage.

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  • Critique de la faculté de se "projeter"

     L’usage idéologique du "projet" s’impose dans les années 1980, comme outil de renouvellement du discours politique après la "déconstruction" post soixante-huitarde des "grands récits" idéologiques, désormais honnis. Dans le cas de "l'exception culturelle française", l'utilisation idéologique de la notion de "projet" dans le discours politique prend une importance particulière à partir dans la décennies 1970-1980. Mais déjà, à partir des années 1960-70, dans un contexte de transformation de la communication politique, le mot "projet" commence à être utilisé de manière stratégique et idéologique, remplaçant peu à peu des notions plus traditionnelles comme "programme", "doctrine", ou "plan". Dans la même période dans la classe politico-intellectuelle et médiatique, on va abandonner le vocable "convictions" pour celui de "valeurs", de même on ne parlera plus guère d'exploitation ou d’oppression mais essentiellement de domination ; une domination qui n'est plus celle qu'exerce la classe bourgeoise et petite bourgeoise dans le rapport social de production, mais qui opère dans les sphères "brumeuses" (comme disait Marx) du "symbolique".

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  • ‘Follow the Silenced’: COVID-19 and a Culture of Falsehood

    The documentary “Follow the Silenced” (FTS) follows diseased and dying American COVID-19 vaccine-injured patients and their struggle to be heard. The first of this two-part review highlights Big Pharma’s connivance with the Biden-Harris administration to silence these patients.
    FTS depicts preschool teacher Brienne Dresen, who had volunteered for clinical trials in the public interest. She soon noticed her post-shot symptoms: hypersensitivity to sound and light, blurred vision, tinnitus, and short-term memory loss.

    Similarly, parents of high school student Maddie de Garay noticed her ice-cold, swollen fingers and hands, uncontrollable tremors, and syncope (fainting spells). Others have a myriad of complaints: unexplained face-tingling, headaches, heart attacks, blackouts, bladder-bowel dysfunction, joint pains, blood clots, arrhythmia, and partial paralysis.

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  • «Enseignement» de la sexualité : quand l’école outrepasse ses attributions

    Le programme national d’éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité (Evars), entrera en vigueur à la rentrée scolaire dans tous les établissements. Christian Flavigny, pédopsychiatre et psychanalyste, dénonce une confusion entre les rôles dévolus à l’école et ceux relevant de la famille.

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  • Liberté d’expression : la France est-elle sur le point de basculer dans un régime de contrôle autoritaire ?

    Il est un principe cardinal sans lequel aucun droit ne peut subsister, aucune démocratie ne peut respirer, aucun peuple ne peut s’émanciper : la liberté d’expression. Cette liberté fondamentale commande toutes les autres car comment peut-on défendre ses droits, si on ne peut pas s’exprimer librement ?

    En France, cette liberté s’étiole par étapes depuis des années, avec une accélération récente des plus inquiétantes quant à la conception étriquée qu’en ont nos dirigeants et représentants. Cette dérive n’est plus la pente douce que nous connaissons depuis la loi Pleven de 1972, c’est désormais une glissade rapide vers un contrôle autoritaire. L’étau se resserre dans l’indifférence des élites, des médias et de la population, et avec la complicité active d’une classe politique qui, de la gauche à l’extrême-centre, a fait de l’encadrement de la parole publique un axe structurant de sa stratégie pour garder un pouvoir idéologique et politique qu’elle sent lui échapper.

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