Face à la santé financière dégradée des comptes de la Sécurité sociale, le gouvernement entend faire passer le vaccin contre la grippe comme un outil de redressement budgétaire. Soignants, retraités, salariés : tous pourraient bientôt voir cette vaccination passer du statut de recommandation à celui d’obligation, déclarée ou déguisée. Présentée comme un geste de prévention et un moyen de freiner la transmission, le vaccin anti-grippe, cependant, faillit à sa mission. Car derrière les messages politiques, de nombreux experts s’accordent sur l’état actuel des connaissances scientifiques : il n’existe aucune preuve solide de son efficacité. Au contraire. Le Dr Robert Malone, biologiste moléculaire et expert au sein du comité consultatif sur les pratiques vaccinales des CDC aux États-Unis, indique à Epoch Times que la vaccination annuelle serait même « contre-productive ». Une politique sanitaire qui, loin de soulager les finances publiques, pourrait donc bien les grever davantage.
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Critique de la faculté de se "projeter"
L’usage idéologique du "projet" s’impose dans les années 1980, comme outil de renouvellement du discours politique après la "déconstruction" post soixante-huitarde des "grands récits" idéologiques, désormais honnis. Dans le cas de "l'exception culturelle française", l'utilisation idéologique de la notion de "projet" dans le discours politique prend une importance particulière à partir dans la décennies 1970-1980. Mais déjà, à partir des années 1960-70, dans un contexte de transformation de la communication politique, le mot "projet" commence à être utilisé de manière stratégique et idéologique, remplaçant peu à peu des notions plus traditionnelles comme "programme", "doctrine", ou "plan". Dans la même période dans la classe politico-intellectuelle et médiatique, on va abandonner le vocable "convictions" pour celui de "valeurs", de même on ne parlera plus guère d'exploitation ou d’oppression mais essentiellement de domination ; une domination qui n'est plus celle qu'exerce la classe bourgeoise et petite bourgeoise dans le rapport social de production, mais qui opère dans les sphères "brumeuses" (comme disait Marx) du "symbolique".
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‘Follow the Silenced’: COVID-19 and a Culture of Falsehood
The documentary “Follow the Silenced” (FTS) follows diseased and dying American COVID-19 vaccine-injured patients and their struggle to be heard. The first of this two-part review highlights Big Pharma’s connivance with the Biden-Harris administration to silence these patients.
FTS depicts preschool teacher Brienne Dresen, who had volunteered for clinical trials in the public interest. She soon noticed her post-shot symptoms: hypersensitivity to sound and light, blurred vision, tinnitus, and short-term memory loss.Similarly, parents of high school student Maddie de Garay noticed her ice-cold, swollen fingers and hands, uncontrollable tremors, and syncope (fainting spells). Others have a myriad of complaints: unexplained face-tingling, headaches, heart attacks, blackouts, bladder-bowel dysfunction, joint pains, blood clots, arrhythmia, and partial paralysis.
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«Enseignement» de la sexualité : quand l’école outrepasse ses attributions
Le programme national d’éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité (Evars), entrera en vigueur à la rentrée scolaire dans tous les établissements. Christian Flavigny, pédopsychiatre et psychanalyste, dénonce une confusion entre les rôles dévolus à l’école et ceux relevant de la famille.
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Liberté d’expression : la France est-elle sur le point de basculer dans un régime de contrôle autoritaire ?
Il est un principe cardinal sans lequel aucun droit ne peut subsister, aucune démocratie ne peut respirer, aucun peuple ne peut s’émanciper : la liberté d’expression. Cette liberté fondamentale commande toutes les autres car comment peut-on défendre ses droits, si on ne peut pas s’exprimer librement ?
En France, cette liberté s’étiole par étapes depuis des années, avec une accélération récente des plus inquiétantes quant à la conception étriquée qu’en ont nos dirigeants et représentants. Cette dérive n’est plus la pente douce que nous connaissons depuis la loi Pleven de 1972, c’est désormais une glissade rapide vers un contrôle autoritaire. L’étau se resserre dans l’indifférence des élites, des médias et de la population, et avec la complicité active d’une classe politique qui, de la gauche à l’extrême-centre, a fait de l’encadrement de la parole publique un axe structurant de sa stratégie pour garder un pouvoir idéologique et politique qu’elle sent lui échapper.
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L’IA a soif et sa consommation d’eau n’est pas prête de s’arrêter
Dans un monde où l’intelligence artificielle (IA) redessine les contours de nos sociétés – des assistants vocaux aux algorithmes des médias sociaux, en passant par les images générées – une question cruciale reste peu abordée : quel est le coût environnemental de cette révolution technologique ?
Si la consommation énergétique des centres de données (data centers) alimentant l’IA fait déjà l’objet d’un débat, un autre impact, tout aussi préoccupant, commence à émerger : la consommation d’eau, massive et exponentielle.
Alors que le changement climatique accentue les tensions sur cette ressource vitale, l’IA, souvent perçue comme la solution miracle de nos défis modernes, pourrait paradoxalement aggraver la crise hydrique mondiale.
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Covid: statistiques, entre mensonges et vérités
En 2023, Pierre Chaillot a publié « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », le fruit de longues recherches. Il s’agissait du premier et du seul ouvrage qui analysait les statistiques officielles réalisées pendant la crise du Covid 19 et qui mettait en lumière les manipulations dont celles-ci avaient fait l’objet.
Cinq ans après le début de la crise sanitaire, il publie un deuxième livre intitulé « Victimes des vaccins Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels ». Suite à la vaccination, de nombreuses pathologies (myocardite, cancer, AVC, aménorrhée, etc.) ont été déclarées dans les bases de pharmacovigilance de nombreux pays. Officiellement et selon les dossiers consultables, environ 30’000 personnes sont même décédées en France après avoir été vaccinées. Et pourtant, malgré tout cela, aucune étude sérieuse n’a été lancée concernant l’efficacité réelle des vaccins et leur nocivité.
Cet ouvrage a pour but de rendre visible les victimes des vaccins. Il s’agit d’un document opposable en justice. Les bénéfices des ventes de ce livre sont reversés à deux fondations d’aide aux victimes des vaccins.