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  • Logement social : si loin de l'ambition initiale !

    Lors de sa création, le parc social français avait une vocation simple : donner une solution de logement temporaire à une famille en difficulté. Force est de constater que la situation est tout autre. Faible rotation, immobilisme sur des générations et emprise communautaire, voilà ce qu'est devenu le logement social en France.

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  • La cabanisation de la France ? La France des cabanes, du tiers monde et de la survie.

    Travailleurs pauvres, retraités sans ressources, néoruraux, gens du voyage… Ils sont de plus en plus nombreux à vivre en toute illégalité dans des chalets ou des camionnettes installés dans des champs ou au milieu des bois. Un casse-tête pour les préfectures et maires qui tentent de freiner le phénomène.

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  • Le Japon, un laboratoire des nouvelles formes d'amour

    De jeunes hommes louant leurs services de petit ami pour quelques heures, romances - même sérieuses - avec des personnages fictifs... Malgré un taux de natalité au plus bas, les nouvelles formes d'amour fleurissent au pays du soleil levant. Et même si ces expériences affectives sont peu répandues dans le reste du monde, difficile d'écarter l'hypothèse d'un alignement de nos sociétés sur ce modèle.

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  • Don Juan d’Autriche, le vainqueur de Lépante

    Si la victoire de la chrétienté à Lépante, le 7 octobre 1571, a sauvé l’Europe de l’expansion ottomane, c’est grâce au courage et à la vaillance des nombreux soldats venus de tout l’Occident pour défendre leur civilisation. Cependant, ce triomphe militaire n’aurait pas été possible sans un jeune homme dont le nom est aujourd’hui absent de nos livres d’histoire et qui fut pourtant au XVIe siècle sur toutes les lèvres en Europe : Don Juan d’Autriche. Ce prince de sang aura alors connu une vie semblable à celle d’une étoile filante : éclatante de gloire, mais malheureusement éphémère.

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  • "Souriez, vous êtes infantilisés"

    J’en ai conscience, je vous ai envoyé beaucoup de pétitions récemment.

    En moins de quinze jours, j’en ai écrit deux : l’une contre la criminalisation des porteurs de canif[1], l’autre demandant au nouveau gouvernement Barnier de renoncer à son projet de généraliser la vidéosurveillance algorithmique [2] .

    Ces deux combats peuvent paraître éloignés l’un de l’autre. Le premier, dérisoire. Le second, illusoire. Ils participent pourtant de réactions à un même phénomène.

    Je n’avais pas du tout prévu, dans mon emploi du temps, de rédiger ces deux textes ; ils se sont imposés à moi pour faire face au caractère absurde et révoltant de ces « mesures » sorties du chapeau (hélas) sans fond de notre régime technocratique.

    Et dans l’espoir d’alerter et de réveiller les esprits qui peuvent encore l’être.

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  • La carte et le territoire

    Une interview de Michael Duggan, géographe et maître de conférences en culture digitale, dans l’excellent trimestriel Usbek & Rica (n°44), met particulièrement l’accent sur les enjeux politiques et commerciaux de la cartographie numérique. Selon Duggan, la création de cartes n’est jamais neutre : elle reflète les intentions des acteurs qui les produisent. Les entreprises comme Google, par exemple, utilisent les algorithmes de GPS non seulement pour nous orienter, mais aussi pour orienter nos comportements de consommation. Ces systèmes privilégient certains itinéraires ou commerces en fonction de critères commerciaux, modifiant ainsi les flux de circulation et les dynamiques locales. Cela place un immense pouvoir entre les mains des entreprises tech, qui, en contrôlant ces cartes numériques, influencent subtilement nos choix quotidiens et notre vision du territoire.

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  • Les grands retournements

    L’histoire a connu de grands retournements, l’Art aussi : ainsi Abraham Lincoln, président anti-esclavagiste, donc progressiste était du parti… Républicain, qui est aujourd’hui celui de Trump défendant plutôt une ligne conservatrice ! La galanterie passe actuellement pour une ruse du mâle blanc asservissant à coup de politesse la gent féminine or elle fut, en son origine, une création des femmes qui, au XVIIème, civilisèrent via les bonnes manières, des hommes aux mœurs brutales… La Peinture fut une passion française, brillante au XIXème, sa renommée se prolongea au XXème via les deux Ecoles de Paris. Depuis 1982, on nous explique doctement que la Peinture c’est ringard, dépassé, réac ou pire : une passion périmée comme disait déjà Bonnard.

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