Cinq ans après le confinement, tentons d’analyser les conséquences sanitaires et sociétales. Cette tribune s’attache à préciser le bilan sanitaire factuel du confinement à une période où les responsables de cette mesure tentent d’éluder leurs responsabilités, preuve probable qu’il ne s’agissait pas d’erreurs, mais bien d’une ingénierie sociale, visant à conditionner la population à l’obéissance aveugle.
Cette période a été marquée par une propagande terrorisante omniprésente et une censure féroce pour éviter tout débat démocratique sur la pertinence des mesures imposées.
Contrairement aux informations factuelles rassurantes qui étaient diffusées lors de la grippe asiatique (1956-1958) et celle de Hong Kong (1968-1970), tous les médias ont adopté d’une même voix unique et homogène une présentation dramatique de l’épidémie.
Le directeur général de la santé, surnommé rapidement le croque mort du 20 H quotidien, n’a pas hésité à comparer le covid à la peste « la crise épidémique que nous traversons actuellement est comparable aux pires pandémies de l’histoire de l’humanité, elle peut être comparée à la pandémie de peste de 1347 ou à celle de grippe espagnole en 1917 ». Quelle honte !