« C’est une expérience révolutionnaire que personne ne peut se permettre de juger », écrit Patrice de Beer, le correspondant du journal Le Monde à Phnom Penh, en avril 1975. Pour un autre journaliste, Jean Lacouture, qui écrit dans Le Monde et dans Le Nouvel Observateur, « la victoire des Khmers rouges est une nouvelle page de l’humanité ». D’autres intellectuels, tels Alain Badiou, Régis Debray, Noam Chomsky… s’extasieront lorsque Phnom Penh tombera dans les mains des Khmers rouges. Plus tard, lorsque la réalité ne pourra plus être niée, certains reconnaîtront leur erreur...