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  • Son odeur après la pluie : pourquoi la cause animale fait fondre le cœur des Français

    Avec plus de 300.000 exemplaires vendus, Son odeur après la pluie est indiscutablement l’un des plus grands succès littéraires de ces derniers mois. Publié en mars 2023 aux Éditions Stock, l’histoire d’amour - car c’est ce dont il s’agit, un amour pur et véritable, entre l’auteur Cédric Sapin-Defour et son bouvier bernois Ubac - a bouleversé le cœur de milliers de lecteurs français et sans doute, parmi eux, des lecteurs de BV. Et pour une raison simple : cette épopée sentimentale nous humanise en réalité et déculpabilise les Français de leur amour puissant, et non benêt, pour leurs « bêtes ».

    « Une autre vie va me rejoindre, elle va cuirasser et exposer mes lendemains. Il s’en fichera de beaucoup, de mon rang, de mes richesses, de mes vertus et de mes manques […] Nous réduirons ensemble cette existence au luxe de l’essentiel. » C’est dans ces mots, avec la finesse d’une plume que nous ne connaissions pas encore à l’auteur, que Cédric Sapin-Defour conte sa rencontre avec Ubac, un bouvier bernois, race courante dans les montagnes savoyardes devenues terrain de jeu pour cet alpiniste.

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  • Aimer être seul sans pouvoir s’éloigner des autres, comment vivre avec le « dilemme du hérisson » ?

    C’est une allégorie popularisée par le philosophe allemand Arthur Schopenhauer et étudiée par le fondateur de la psychanalyse Sigmund Freud. Le dilemme du hérisson reflète un paradoxe humain : aimer être seul mais avoir besoin de la proximité avec les autres.

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  • Le totalitarisme informatique qui vient

    Qu’est-ce que l’informatisation, le numérique et l’Intelligence Artificielle (IA) font à nos vies sociales et individuelles ? Qu’est-ce qu’ils font à nos sociétés, nos façons de vivre ensemble (ou pas), et finalement à nos démocraties ? Entretien avec Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine et directeur du séminaire « Accumulations et accélérations » à la Fondation Maison des Sciences de l’Homme de Paris. Il vient de publier Le totalitarisme informatique aux éditions Le bord de l’eau.

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  • La fièvre électrique retombe

    (...) le ralentissement est bel et bien mondial, comme, du reste, l’engouement pour les dernières lubies écologiques : la volonté de certains politiciens dans différents pays européens de mener une véritable guerre contre leurs paysans pour des motifs soi-disant écologiques s’est rapidement heurté à une grogne massive ; l’éolien, qu’il soit en mer ou sur terre, commence à rencontrer une opposition de plus en plus ferme à mesure que des problèmes de gravité croissante se font jour, notamment avec l’un des principaux fabricants de turbines éoliennes qui ont un peu trop tendance à tomber en panne (voire s’enflammer).

     

     

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  • La dépendance des pays occidentaux aux métaux critiques

    Les véhicules électriques, que l'Union Européenne veut nous voir utiliser massivement d'ici à 2035 utilisent six fois plus de métaux qu'un véhicule à moteur thermique. Les éoliennes ou les panneaux solaires exercent également une pression phénoménale, participant à la hausse de la demande des métaux dits critiques pour la transition énergétique.

    Les chiffres présentés à ce sujet par Les Échos sont vertigineux. Ils nous rappellent qu'économie d'énergies fossiles ne rime pas avec moins de luttes géopolitiques, surtout pour des matériaux devenus incontournables dans notre société. Rappelons que plus de 70 % des métaux utilisés en Europe sont importés alors que la Chine a investi depuis plusieurs dizaines d'années dans cette industrie. Celle-ci contrôle aujourd'hui plus de 40 % de la chaîne de valeur pour les métaux nécessaires à la fabrication de batteries. 

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  • Laurent Guyénot : La peur provoquée par les juifs et par leur « Dieu de la terreur »

    « Il est temps que les juifs soient craints ! » a récemment déclaré le rabbin Shmuley. Les juifs, qui n'ont pas réussi à vaincre l'antisémitisme en essayant d'être aimés, respectés ou admirés, doivent désormais se faire craindre. C'est le nouveau mot d'ordre.

    Le problème est que si les juifs veulent être craints, ils doivent aussi accepter d'être haïs. La « peur des juifs » peut être traduite littéralement par « judéophobie » (du grec phobos, craindre). Pour être craint, il faut avoir le pouvoir de nuire, et il faut le prouver. Donc, si les juifs veulent être craints afin de combattre l'antisémitisme, alors l'antisémitisme a un brillant avenir devant lui. 

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  • Le mouvement LGBTQ+ manque sa cible

    Le mouvement LGBT en se définissant ainsi dans la compilation de l'indication de ses composantes est de fait une identification par exclusion. Ce qui en est est dedans. Ce qui n'en est pas est dehors. Tant et si bien que le nom à évolué en LGBTQ+, ce qui est un aveu de prise de conscience de la limite du processus. Ils auraient bien mieux fait de se nommer dès le départ "Mouvement pour la bienveillance" dont l'universalisme autorise toutes les évolutions et prises de conscience ultérieure et cible l'essentiel, l'objectif final commun : le bien vivre ensemble sans discrimination aucune. Mais apparemment ce n'était pas là l'objectif. La culture qui les a fait naitre est celle d'un communautarisme néolibéral, celui que l'on retrouve aux USA, et dans le monde anglo-saxon. Mais regardons de plus près.

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