Début février, Science et Vie titrait :« Le nouvel espoir contre Alzheimer est une simple protéine — nous l’avons découverte grâce à un petit ver. »
Je ne sais pas pourquoi l’article a refait surface dans mon fil, plusieurs mois plus tard, alors que le pays frôle la crise de nerfs. Peut-être qu’Internet essaie de me parler : quand tout s’agite, il envoie des vers. Ou des protéines. Ou des signes. À ce stade, difficile de savoir si l’algorithme me veut du bien ou s’il s’inquiète pour ma santé mentale, ou celle du gouvernement.