Pendant des siècles la beauté allait de soi : inutile d’analyser, d’argumenter pour la défendre. Mais il y a environ 50 ans, le beau a commencé à être, pas seulement détourné ou contesté, mais déconstruit et diabolisé. L’attaque est venue de l’intelligentsia, le grand public restant demandeur de beauté, sans avoir les mots, les « concepts » ou la culture pour répondre. Certains milieux cultivés, réticents à agresser le beau, eurent cependant du mal à défendre… une quasi évidence.