La conception néolibérale de l'être humain n'a rien de profond. Elle repose essentiellement sur l'intérêt et l'apparence. Elle semble se se réduire donc à l'enveloppe, à l'emballage, à la matière qui la tient debout. Le culte du paraître recouvre toute la personnalité, du maquillage à la gestuelle jusqu'à d'autres charmants comportements à vocation séductrice. Cette culture évite totalement le fondamental : c'est à dire ce que nous sommes vraiment. En l'espèce, personne ne sait répondre à cette question apparemment incongrue : Qui suis-je réellement...