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  • Le Pont-Neuf empaqueté : encore un « cadeau » de l’art contemporain

    Avez-vous, dans votre entourage, quelqu’un qui vous offre régulièrement le même cadeau, cravate ou autre bougie parfumée ? Eh bien, en septembre prochain, le Pont-Neuf deviendra « The Pont Neuf Wrapped », le Pont-Neuf « empaqueté » ou « emballé ». Comme un air de déjà-vu…

    « De grandes formations rocheuses reliant temporairement les rives droite et gauche de la Seine » : l'annonce en a été faite par la Fondation Christo et Jeanne-Claude. L’installation du plasticien JR sera « une installation immersive inspirée de l'héritage du couple d’artistes » pour fêter les 40 ans de l’emballage du monument par Christo. Derrière ce côté Luna Park, l’auteur de Art contemporain, manipulation et géopolitique, Aude de Kerros, voit d’abord du business : « Cet événement va faire vivre la cote de Christo et celle de JR, explique-t-elle à BV. Tout un microcosme a un intérêt au montage. »

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  • L'euthanasie est hors de contrôle au Canada depuis sa légalisation

    Le Canada est un pays « en avance » pour les promoteurs du « droit à mourir ». Si le pays de l'érable n'est pas le premier à avoir légalisé ce « droit », la politique canadienne est particulièrement libérale en ce sens qu'elle permet l'euthanasie active comme le suicide assisté depuis 2016. La boîte de Pandore a été ouverte dès le début, selon les opposants : on note que les personnes les plus pauvres, les plus fragiles socialement sont surreprésentées parmi les candidats à une mort programmée (voir LSDJ 1780). Le lanceur d'alerte Alexander Raikin a dénoncé la faiblesse et la subjectivité des garde-fous législatifs. Les médecins pratiquant le « droit à mourir » sont – théoriquement – soumis aux dispositions du droit pénal et risquent de lourdes peines de prison si les procédures ne sont pas parfaitement respectées. Mais Raikin a obtenu des documents montrant plus de 400 cas de violations apparentes, juste dans l'État de l'Ontario (le plus peuplé du pays, où se situent les capitales politique – Ottawa – et économique – Toronto). Or, non seulement les autorités ont caché ces informations, mais en outre aucune plainte n'a été déposée par leurs soins contre les médecins suspectés de manquements.Le Canada est un pays « en avance » pour les promoteurs du « droit à mourir ». Si le pays de l'érable n'est pas le premier à avoir légalisé ce « droit », la politique canadienne est particulièrement libérale en ce sens qu'elle permet l'euthanasie active comme le suicide assisté depuis 2016. La boîte de Pandore a été ouverte dès le début, selon les opposants : on note que les personnes les plus pauvres, les plus fragiles socialement sont surreprésentées parmi les candidats à une mort programmée (voir LSDJ 1780). Le lanceur d'alerte Alexander Raikin a dénoncé la faiblesse et la subjectivité des garde-fous législatifs. Les médecins pratiquant le « droit à mourir » sont – théoriquement – soumis aux dispositions du droit pénal et risquent de lourdes peines de prison si les procédures ne sont pas parfaitement respectées. Mais Raikin a obtenu des documents montrant plus de 400 cas de violations apparentes, juste dans l'État de l'Ontario (le plus peuplé du pays, où se situent les capitales politique – Ottawa – et économique – Toronto). Or, non seulement les autorités ont caché ces informations, mais en outre aucune plainte n'a été déposée par leurs soins contre les médecins suspectés de manquements.

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