« Oserais-je le dire au milieu des ruines qui m'environnent ? Ce que je redoute le plus pour les générations à venir, ce ne sont pas les révolutions... Je tremble, je le confesse, qu'ils ne se laissent enfin si bien posséder par un lâche amour des jouissances présentes, que l'intérêt de leur propre avenir et de celui de leurs descendants disparaisse, et qu'ils aiment mieux suivre mollement le cours de leur destinée, que de faire au besoin un soudain et énergique effort pour le redresser... »