Afin de mesurer l’appétit de la mondialisation, la Cnuced focalise l’attention sur le nombre de projets d’investissements à l’étranger initiés chaque année. Certes, cela ne représente qu’une partie de l’ensemble des dépenses effectuées par les entreprises pour se mondialiser, et en ce sens cela ne fournit pas une analyse complète et définitive. Mais cela donne une idée de la volonté des firmes de maintenir ou pas la dynamique de mondialisation à l’œuvre depuis plusieurs décennies. On peut dès lors en retenir cinq grands enseignements.