Une ONG américaine a mis en garde mercredi contre les dangers liés aux « neurotechnologies » pour le grand public, c’est-à-dire la commercialisation d’appareils capables d’enregistrer l’activité du cerveau, voire de l’influencer, sans garde-fous suffisants pour les consommateurs.
Suivant ses recommandations, le Colorado vient de promulguer une loi pour protéger la confidentialité des « données neuronales ». « C’est une première pour un état américain, et dans le monde en général », s’est félicité Jared Genser, cofondateur de Neurorights Foundation, lors d’une conférence de presse mercredi.