Un tiers des Canadiens ne voient apparemment pas le moindre inconvénient à la prescription d’une aide au suicide au seul motif que le patient est pauvre ou sans domicile fixe.
C’est ce qui ressort d’un récent sondage de Research Co. visant à déterminer dans quelle mesure les Canadiens sont à l’aise avec le régime actuel d’assistance médicale à mourir (MAID) du pays.