La défectuosité, voire la toxicité des œuvres, interroge peu. Certes, on suspecte que la polyarthrite rhumatoïde de Renoir ou Dufy (la Fée électricité de ce dernier dû être désamiantée en 2006) est liée au maniement des peintures mais qu’un Soulages finisse centenaire rassure. Or, on a allégrement sous-estimé le risque des solvants et l’Art Contemporain, non seulement multiplie les résines époxy au potentiel allergisant, mais certains artistes, comme Damiens Hirst, ont délibérément choisi le danger...