L’engrenage dans lequel nous sommes pris pourrait nous amener à préférer sacrifier 300 millions de vies humaines plutôt que 300 000 milliards de dollars de dettes dans le monde. Nous avons la fausse impression que les graves crises économiques mènent aux guerres comme 1929 a précédé 1939. Nous allons voir dans ces lignes que ce ne sont pas tant les crises qui décident des guerres que notre refus de ces crises ou plutôt des liquidations qu’elles exigent face aux dérives monétaires du crédit et des dettes.